ULAANGOM (Mongolia) –> GORNO-ALTAYSK (Russia) : Encore plus difficile! / más dificil todavía!

22.8.2010. KM 54 655 –-> KM 55 463

Chers amis! / Queridos amigos!

Une fois de plus nous tardons plus que de coutume pour actualiser ce site et envoyer des nouvelles. Une fois de plus, la Mongolie nous a fait payer cher chaque nouveau kilomètre mais une chose est sûre: ce fut la dernière fois! Avant-hier, après des démarches vite-faites bien faites, nous sommes de nouveau entrés en Russie. Entre nostalgie et… Soulagement!
La semaine avait pourtant bien commencé. Nous avons passé trois jours à Ulaangom, tout heureux de nous mêler à la civilisation, de prendre nos habitudes chez la petite épicière, de réparer la kombi, de parler avec nos familles, de suivre les résultats du Stade Brestois sur Internet. Et le comble du bonheur: des douches publiques avec eau chaude! Nous avons dormi trois nuits garés sur la place centrale, aucun problème. Rarement nous n’avions été aussi heureux dans une ville sans charmes…

Una vez más, tardamos más que de costumbre para actualizar esta página y mandar noticias. Una vez más Mongolia nos cobró caro cada nuevo kilómetro pero una cosa es segura: fue la última vez. Ante ayer, después de trámites sin problemas, volvimos a entrar en Rusia. Entre nostalgia y… Alivio!
Y es
o que la semana había empezado muy bien . Estuvimos tres días en Ulaangom, felices al andar con gente, tomando costumbres en el almacén, arreglando la kombi, hablando con nuestras familias y siguiendo los resultados del Brest en Internet. Y el colmo de la felicidad: duchas públicas con agua caliente! Dormimos tres noches estacionados en la plaza central. Ningún problema. Pocas veces estuvimos tan felices en una ciudad sin atractivos…

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Nous la quitons dimanche matin. Il fait beau et la route est incroyablement bonne. Goudronnée, lisse, juste quelques nids de poules par-ci par là. Ça nous surprend. Nous profitons du passage d’une rivière pour nous laver, cuisiner, nous faire quelques nouveaux amis, nettoyer la kombi et lui installer un nouvel autocollant, celui qui remplacera la photo de nous deux prise au Panamá. Il paraît que dans les pays arabes la photo d’Iris en mini-jupe pourrait nous atirer des problèmes. Maintenant, nous avons une carte du monde détaillée avec notre itinéraire complet. Seuls deux noms ressortent, en gras et en lettres capitales: MAR DEL PLATA et BREST. On aime beaucoup.

La dejamos el domingo por la mañana. El tiempo está muy lindo y la ruta es excelente. Asfaltada, lisa, unos pocitos de vez en cuando pero nada grave. Nos sorprende. Aprovechamos el paso de un río para limpiarnos, cocinar, hacernos algunos amigos, limpiar a Renata e instalarle el sticker que remplazara la foto de nosotros dos en Panamá. Parece que en los países musulmanes la foto de Iris en pollerita nos podría traer problemas… Ahora andamos con un mapa del mundo con nuestro itinerario detallado. Aparecen dos únicos nombres, en mayúsculas y en negrita: MAR DEL PLATA y BREST. Nos gusta mucho.

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Après deux ou trois bonnes heures, nous revenons à la route, meilleure que jamais. Le seul truc: son tracé ne correspond pas tellement à ce que nous indique la carte. Trop heureux de rouler comme papa un jour de départ en vacances, nous n’y prêtons pas trop attention… Et nous ne tardons pas à arriver face à une grosse barrière entourée de miradors… La frontière!

Después de dos o tres horas, volvemos a la ruta, mejor que nunca. La única cosa: sus curvas no coinciden tanto con lo que indica nuestro mapa. Demasiado felices al andar como papá por la autovía, no nos hacemos problema y seguimos…. Hasta encontrarnos con una gran barrera custodiada por una docena de militares: la frontera!

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Sur le coup, ça nous rend un peu tristes mais à y bien penser nous le voyons comme une chance innouïe: celle d’échapper à la route du Nord-Ouest mongol, que nous savons coupée par une rivière anormalement gonflée. Comme la frontière est fermée le dimanche, nous passons la nuit à proximité, à regarder les cartes que notre amie Claire nous a si gentiment envoyées de Belgique, à calculer si oui ou non nous irons en Iran (pour le moment, c’est plutôt oui… On verra à l’ambassade!), à préparer les documents pour le lendemain...
Lundi matin, nous sommes parmis les premiers à nous présenter au poste. Le militaire en faction +à l’entrée demande à voir nos passeports. Nous les lui donnons. Il les examine rapidement puis nous fait signe de repartir en arrière: cette frontière est à usage exclusif des citoyens russes et mongols! 250 kilomètres aller-retour! Ça la fout un peu mal… D’autant plus que c’est à ce moment que nous commençons à avoir des problèmes électriques sérieux. L’ingénieure Köchig passe des heures et des heures à y travailler mais on ne parvient qu’à faire des petites réparations provisoires qui lâchent quelques kilomètres plus loin. La suite s’annonce compliquée…

En el momento, nos pone un poco tristes pero al pensarlo bien lo vemos como una gran oportunidad: la de escapar a la ruta del Noroeste mongol, que sabemos está cortada por un río difícil de pasar. Como la frontera está cerrada el domingo, dormimos cerquita y pasamos la noche mirando los mapas que tan gentilmente nuestra amiga Claire nos mandó de Bélgica, calculando si nos conviene o no pasar por Iran (por el momento parece que si, ya veremos en la embajada!), preparando los papeles para el día siguiente… 
El lunes por la mañana somos de los primeros en presentarnos frente a la frontera. El militar de guardia nos pide los pasaportes. Se los damos. Los examina rápidamente y nos hace signo de volver para atrás: esta frontera es de uso exclusivo para ciudadanos rusos y mongoles! 250 kilómetros ida y vuelta! Nos queremos matar! Más todavía porqué es ahí donde empezamos a tener fallas eléctricas muy serias. La ingeniera Köchig pasa horas y horas tratando arreglar los problemas pero lo único que logramos es hacer arreglos provisorios que rompen unos kilómetros después. La ruta hacía Rusia se anuncia difícil…

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Derniers jours 015En Mongolie il n’y a pas de panneaux. Et quand il y en a, voilà à quoi ils ressemblent.
En Mongolia nos hay carteles. Y cuando por fin hay uno, a esto se parece… 

Pourtant, la route est magnifique. L’asphalte se transforme en un lointain souvenir mais le chemin de terre que nous devons emprunter pour rallier la Russie s’engoufre dans une des plus belles vallées que nous ayons vues en Mongolie et débouche sur un immense haut plateau où la lumière du jour qui s’en va sort tout droit d’un film de Sergio Leone.

Sin embargo, la ruta es hermosa. Por supuesto, el asfalto se transforma en un lejano recuerdo pero el camino de tierra que debemos agarrar para volver a Rusia entra en uno de los valles más lindos que vimos en Mongolia y desemboca sobre un altiplano donde la luz del día que se va sale derechito de una película de Sergio Leone.

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C’est là que les premières vraies difficultés apparaissent. Dans une montée à on ne sait trop combien de % nous voyons la kombi repartir en arrière. Une des roues avant crève et nous passons la nuit sur la bas-côté, sur un petit plat situé à mi-pente.

Es ahí donde empiezan las dificultades en serio. En una subida a no sabemos cuántos por cientos vemos a la kombi volver para atrás. Una de las ruedas delanteras se pincha y debemos pasar la noche al borde de la ruta, en una partecita de plano a mitad de subida.

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Le lendemain nous devons nous y prendre à deux fois mais nous passons. Nous roulons une centaine de kilomètres ponctués par des passages magnifiques et la rencontre de Cris, un motard suisse, puis d’Alain et Brigitte, un couple de français, super sympas et dont l’accent du Sud-Ouest tombe comme un rayon de soleil. Ils viennent de passer la rivière que nous redoutons tant et ils ne savent pas trop quoi nous dire. Ils pensent que nous pouvons passer mais ne nous le garantissent pas. On se donne rendez-vous dans les Pyrénées et nous continuons en direction de la fâmeuse rivière…

El día siguiente tenemos que tratar dos veces pero logramos pasar. Entonces andamos unos cien kilómetros, marcados por partes increíblemente bellas y por el encuentro de Cris, un motoquero de Suiza y luego de Alain y Brigitte, una pareja de franceses, súper simpáticos y cuyo acento del Sur-Oeste cae como un rayo de sol. Acaban de pasar el río que tanto miedo nos da y no saben que decirnos. Piensan que podemos pasar pero no lo garantizan. Nos damos cita en los Pírenos y seguimos hacía el río…

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Nous y arrivons en toute fin de journée et effectivement, ça s’annonce compliqué. Très compliqué même. Le fleuve se compose de cinq ou six bras. Deux d’entre eux mesurent plus de quinze mètres de large et leur profondeur est plus que limite. Comme le soleil se couche nous nous garons sur les galets et remettons la traversée au lendemain.

Llegamos al fin del día y efectivamente, se anuncia complicado. Muy complicado para decir la verdad. El río se compone de cinco o seis brazos. Dos de ellos tienen más de quince metros de ancho y su profundidad está más que limite. Como el sol se estaba acostando decidimos postergar la travesía y nos estacionamos en la orilla para pasar la noche.

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Nous nous levons de bonne heure et pendant un long moment, on inspecte le lit de la rivière. On choisit le chemin le moins pire et on se met en position. La seule voiture qu’on ait vu de la journée est passée à 7h30… Il ya plus de cinq heures. Iris s’installe pour prendre des photos, la kombi s’élance.

Nos levantamos tempranito y durante un largo rato, inspeccionamos el río. Elegimos el menos complicado de los caminos y nos ponemos en posición. El único coche que vimos del día pasó a las 7h30… Hace más de cinco horas. Iris se instala para tomar fotos, la kombi se tira al agua.

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Très rapidement, l’air envoyé  par le système de ventilation se transforme en vapeur d’eau. Le moteur s’arrête, noyé. Nous sommes bloqués. Archi bloqués.

Muy rápidamente, el aire de la calefacción se transforma en vapor de agua. El motor se para, ahogado. Estamos trabados. Totalmente trabados.

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Les minutes qui suivent font partie des plus difficiles depuis le début de ce voyage. Nous sommes au milieu du désert. On essaie bien de bouger quelques galets mais l’eau est terriblement froide et le courant puissant. On se rend compte qu’on ne s’en sortira jamais tous seuls. Les heures passent et finalement, nous écoutons le bruit d’un moteur. A partir de là, les évènements s’enchaînent rapidement. Le bruit provient de la vieille jeep de trois mongols. A l’aide d’un câble de remorquage de fortune ils essaient de tirer la kombi mais elle ne bouge pas. On avait mal arrimé le câble en acier et au deuxième essai la barre stabilisatrice s’envole. Il faut s’engoufrer sous la kombi, cinq ou six fois et dans l’eau glacée pour trouver le moyen de positionner correctement le câble de remorquage. Une famille russe ne tarde pas à arriver, avec un 4x4 tout neuf et un équipement à la Indiana Jones. Le père s’appelle Slava et c’est grâce à lui que nous nous en sortons. En cumulant la force des deux 4x4 ils parviennent à nous sortir du gué puis Slava nous tracte jusqu’à l’autre rive. Là nous pouvons commencer à récupérer, à réparer… Le moteur rempli d’eau, les bougies mouillées, certaines tôles de  protection complètement pliées, les corps qui tremblent comme des feuilles… Ça nous prend pas mal de temps.

Los minutos que siguen hacen parte de los mas largos del viaje. Estamos en el medio de la nada, tratamos mover algunas piedras pero el agua está helada y hay mucha corrientada. Nos damos cuenta de que no podremos salir de ahí solos. Las horas pasan y finalmente, escuchamos el ruido de un motor. A partir de ahí, las cosas pasan rápido. El ruido del motor proviene del viejo 4x4 ruso de tres mongoles. Con la ayuda de un cable de remolque de fortuna tratan sacar la kombi pero no se quiere mover. Habíamos mal arrimado el cable y al segundo intento la barra estabilizadora vuela en el río. Tenemos que meternos bajos la kombi, cinco o seis veces y en el agua helada para encontrar la forma de instalarlo correctamente. En este preciso momento llega una familia rusa con un 4x4 nuevo y un equipamiento a la Indiana Jones. El papa se llama Slava y lo mandó el cielo. Acumulando la fuerza de los dos 4x4 logran sacarnos del río. Slava nos lleva del otro lado y ahí podemos empezar a recuperar, arreglar las cosas, el motor lleno de agua, las bujías mojadísimas, las tolvas dobladas y los cuerpos temblando como hojas… Toma su tiempo.

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Jamais nous n’avons mangé d’aussi bon poisson que celui que cuisine la femme de Slava après ça. On partage un excellent repas puis, quand nous nous sentons de nouveau en conditions de prendre la route, nous repartons. La petite anecdote marrante: la première voiture que nous croisons est… Une Twingo! Elle appartient à deux espagnols qui veulent se rendre a Ulannbator. On leur explique qu’¡ils vont devoir trouver un autre chemin…

Nunca habíamos comido tan rico pescado como el que cocina la mujer de Slava después de esto. Compartimos un excelente almuerzo y, cuando nos sentimos listos para volver a la ruta, seguimos. La historieta cómica: el primer auto que encontramos es… Un Twingo! Pertenece a dos españoles que quieren ir a Ulaanbator. Les explicamos que tendrán que encontrar otro camino…

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Une chose au moins: les paysages sont superbes. La route s’engouffre dans de minces vallées, débouche sur des plaines et des hauts plateaux débordants de moutons, quelques yourtes par-ci par là, des fleurs partout, des aigles. La Mongolie nous salue avec classe.

Una cosa sin embargo: los paisajes son hermosos. La ruta entra en valles angostos, desemboca sobre vegas y altiplanos tapados de ovejas, algunas yurtas, flores por todos lados, águilas. Mongolia se despide como corresponde: con estilo. 

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Nous passons notre toute dernière nuit mongole au bord d’une rivière, à 30 kilomètres de la frontière. Pendant que le français continue les réparations, Iris fait de la magie et trouve dans nos dernières provisions le moyen de cuisiner un dîner aux chandelles façons petit restau parisien. En guise de dessert on se fait une ventrée de pop corns et là, ça commence vraiment à aller mieux.

Pasamos nuestra última noche mongólica al borde de un arroyo a treinta kilómetros de la frontera. Mientras el francés sigue con las reparaciones, Iris hace magia, encontrando en nuestras últimas provisiones el medio de preparar una cena digna de los reyes. De postre nos hacemos una bandeja llena de pochoclos y entonces, nos sentimos mejor de verdad.

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Le passage de la frontière est épique. Cinq kilomètres avant d’y arriver, nous tombons en panne: plus d’essence! Avec ses routes pourries, la Mongolie nous aura fait dépasser les 18 litres aux 100 kilomètres! Dément! Les mongols ne nous retiennent pas plus d’une heure (contre quatre pour Alain et Brigitte) et quand nous roulons vers le poste russe situé quelques kilomètres plus loin, l’installation éklectrique refait des siennes. On y passe trois heures et finalement, nous sommes la toute dernière voiture à arriver au poste russe. Bien pressés de rentrer chez eux, les douaniers accélèrent les démarches et tout est fait en moins d’une heure (contre quatre également pour nos amis français).
Jeudi 19 août. 18h00. Après 26 jours passés en Mongolie nous découvrons le paradis terrestre: une route goudronnée au soleil couchant. Spectacle touchant. On en pleurerait!

El pase de la frontera es épico. Cinco kilómetros antes del lado mongol, se para la kombi. No hay más gasolina! Con sus rutas podridas, Mongolia nos habrá hecho gastar más de 18 litros por cien kilómetros! Los mongoles no nos tienen más de una hora (contra cuatro por la pareja de franceses que conocimos dos días antes) y cuando manejamos hacía el lado ruso la instalación eléctrica vuelve a fallar. Iris trabaja durante tres horas y somos el último auto a llegar al lado ruso. Apurados por volver a sus casas, los rusos apuran los trámites y todo está hecho en menos de una hora (contra cuatro por los pobres franceses).
Jueves 19 de agosto. 18h00. Después de 26 días en Mongolia, nos volvemos a encontrar con el paraíso terrestre: una ruta asfaltada al atardecer. Increíble de belleza.
 

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Les jours qui suivent sont magiques. Nous découvrons la République d’Altay, une des plus belles régions de Russie. La route qui monte vers le Nord-Ouest est superbe; ce doit être comme rouler en Suisse.

Los días siguientes, descubrimos la Republica de Altay, una de las regiones más bellas de Rusia. La ruta que sube hacía el Noroeste debe ser una de las más lindas del viaje. Es como andar por Suiza…

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Premiers jours 011

Les températures sont estivales. En longeant la Chuya, ce fleuve couleur “sirop menthe glaciale” qui coule au pied d’immenses parois rocheuses et qui ne cesse de grandir en filant vers le Nord, nous allons de site de camping sauvage en site de camping sauvage, comme la plupart des moscovites qui viennent passer l’été ici. A chaque fois ce sont des endroits magnifiques; chaque matin le même émerveillement au moment d’ouvrir les portières.

Las temperaturas son estivales. A lo largo de la Chuya, un río celeste que corre al pie de inmensos acantilados y que no deja de crecer a medida que avanza hacía el Norte, vamos de un sitio de camping salvaje a otro, como  todos los rusos que vienen pasar el verano aquí. Cada vez los paisajes son increíbles de belleza, cada mañana el mismo encanto al abrir las puertas de Renata.

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Nous avançons doucement vers Omsk, où nous devrons obtenir nos visas pour le Kazakhstan. Après des jours et des jours de problèmes, l’ingénieure Thibaud-Köchig a fini par trouver l’origine de la panne électrique. Elle l’a déviée sur un autre fusible et ça marche! La kombi roule bien. Nous voici de nouveau en des terres plus “civilisées”. On trouve du pain frais, des fruits et légumes (ça nous avait manqué) et des accès à Internet. On ne manquera pas d’envoyer des nouvelles plus régulières, c’est promis! Bonne semaine à tous et Allez le Stade Brestois!

Avanzamos despacito hacía Omsk, donde deberemos obtener nuestras visas para el Kazakstán. Después de días y días de problemas, la ingeniera Thibaud-Köchig pudo encontrar el origen de la falla eléctrica. Desvió el circuito dañado sobre un fusible diferente y funciona! Estamos de vuelta en tierras más “civilizadas”. Encontramos pan fresco, frutas y verduras (como se extrañó!) y accesos a Internet. Prometemos noticias frescas y regulares! Les deseamos una excelente semana a todos!

15 comments:

  1. Que d'aventures !! Contente de voir que vous vous en êtes bien sortis, et qu'une fois de plus vous avez fait de belles rencontres.
    Cette région de Russie a l'air de toute beauté, un petit air de scandinavie, non ?!
    Bonne route à vous , en espérant qu'elle soit plus paisible. On pense bien à vous.
    Gros bisous

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  2. Vous cacheriez nous votre intention de faire un remake "d'Indiana Jones" ? C'est pas mal parti ! Les séquences émotions sont top et les photos ne sont pas en reste ! A vous suivre, on comprend qu'il faut être doté d'un solide tempérament ... rebondir comme vous faites avec un large sourire, c'est formidable comme dit papa !
    Si on pouvait, on se serait volontiers invité à votre table...ce petit diner aux chandelles nous a semblé bien sympathique et délicieux.
    On est toujours étonné par ces baroudeurs qui sillonnent le monde .
    On parle toujours de l'entraide qui existe entre gens de mer, mais je crois qu'en fin de compte, dès lors que l'on fait partie d'une communauté quelque qu'elle soit , la solidarité se fait tout naturellement.
    Maintenant nous attendons votre coup de fil (papa est rentré ).
    Plein de gros bisous

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  3. Ustedes estan loquitos exigirle a renata que cruce semejante rio.lo intento pero no puedo.
    Cuidense mucho ustedes y tambien denle cariño a ella.
    Un beso gigante para los tres los queremos hasta el cieloooooooooooo desde

    mar del Plata
    MHS

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  4. ya estaba desesperada q no habian noticias, los sigo al pie de la letra, ya me estoy armando el equipito modesto de viaje mamá me va a regalar una carpita dos ambientes e isra la mochila de 60/70 litros, hace dos fines de semana atras nos pusimos (isra y yo) en marcha a tandil, hicimos las sierras tandilenses a pie tipo la comunidad del anillo, nos metimos por todos lados, publicos y privados jajaja, y para poner mas emocion a nuestro viaje hicimos dedo cuando las patas no podian mas, y funciono las dos vecs nos llevaron hasta el depto de noe jajaja, nos acordamso de ustedes todo el tiempo, un besote gigante

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  5. Incroyable mais vrai....Evidemment ce qui retient le plus notre attention c'est la traversée de la rivière, quelle épopée !
    Et puis qu'elle est belle cette région de Russie, c'est vrai qu'on dirai la Suisse que nous avons vu qu'en photo !
    Est ce que le stress et/ou l'inquiétude vous gagne par moment ? en tous cas vous ne le traduisez pas et vous nous faîtes toujours autant rêver...GRAND MERCI à vous.
    Bonne route toujours enrichie de belles rencontres.
    Bises et à bientôt.

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  6. amigos: no han pensado en ponerle cademas a las llantas de traccion. depronto ayuda para esos pasos dificiles. aunque no creo que sea peor despues de mongolia. los recoramos mucho desde santa marta COLOMBIA. que tengan un excelente viaje.

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  7. waouh !!!impressionnant le passage de rivière ; merci pour les 4x4, dans certaines circonstances c'est bien utile . Donc sublime la Mongolie mais pas facile facile. Les Moscovites profitent des beautés de leur pays , ça je ne l'imaginais pas : l'air de l'Altaï est plus respirable qu'à Moscou ! petite question : avez-vous imaginé ne pas sortir votre combi de la rivière ? Non ? alors restez optimistes et il paraît que l'Iran c'est fabuleux .
    bises à vous deux et félicitations à Iris pour tous ses talents et à Franck pour son sang froid

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  8. como siempre, impresionante!
    es un placer leerlos... aunque sea desde esta isla sin mar en medio de america del sur!
    sigo pensando que tienen unos angeles que los acompañan todo el camino...

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  9. Buenas amigos!
    Gracias por sus palabras! Estamos en Nobosivirsk, de buen camino a Omsk, donde tenemos que sacar la visa para Kazakstan. Ayer a la noche conocimos a tres jovenes bien simpaticos y hoy andamos de paseo con ellos.
    Volveremos a la ruta esta noche o manana.
    Abrazos!!!

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  10. stravstuitje!
    Comme toujours c'est avec plaisir quón lit vos mots.
    Bon, alors pour le coup de la riviere, c'est vrai qu'on a un peu perdus notre sang froid sur le moment. Mais c'est vite passe, quand on s'est rendus compte que la seule chose a faire etait d'attendre.
    Grosse journee hier, avec plein de rencontres. Du matin au soir.
    A 22h, sur la route d'Omsk au niveau de Novosivirsk, on a rencontre trois jeunes avec qui nous avons passe la nuit. Aujourd'hui on devrait aller au zoo de la ville, qui a l'air d'etre assez exceptionnel.
    Grosses bises a tous!

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  11. jacqueline et christopheAugust 25, 2010 at 1:08 PM

    Quoi dire de plus ! époustouflant, vous evez vraiment la pêche ! et finalement assez miraculeuse dans cette rivière, La Mongolie vous en aura fait voir, et à nous aussi, on est enchantés du feuilleton, encore, encore, on pense bcp à vous l'Iran doit être magnifique, si ce n'est et c'est pas des moindres, les conditions de son peuple,le régime en place, la condition des femmes en particulier, enfin ce qui personnellement me mettrait fort mal à l'aise et bien plus encore, enfin nous comptons sur vous pour nous en faire part

    Bravo encore pour vos talents partagés Bises
    Jacqueline et Christophe de retour de Corse, fabuleux bien que moins aventureux !!

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  12. Hola hermosuras!!!!, estoy recontenta con la nota que les hicieron hoy en el diario de la ciudad, ya son populares!Obvio,Leo ya tiene un ejemplar.
    Me emocioné mucho el otro día cuando nos vimos, están relindos, sigan disfrutando y recorriendo las rutas de sus sueños. Los super QUIEROOOOOOO!!! Besotes.GRA

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  13. ¡El saludo de Siberia! Veía los muchachos el 6 de septiembre 2010г. En nuestra ciudad Omsk hermosa. ¡Se ven perfectamente! Le espero a gusta. Solamente en el Irtysh a nosotros desemboca el río Om, y el Ob corre a 800 kilómetros más al este. ¡Los Osos blancos por las calles no van :-), pero el invierno es muy frío! Si es necesaria la ayuda - escriban en retex@list.ru. ¡Buen viaje!

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  14. обалденные виды!

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  15. AAHH oui c'ets une entrée riche en épopées! ça fait du bien de voir quelques galères qui se terminent aussi bien! Surtout quand c'est ponctué de formidables rencontres!
    Les photos sont magnifiques, de vraies cartes postales, la traversée de la rivière est digne d'un film!

    GRos bisous de Flo

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